L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est une institution chargée d’informer la population mondiale sur les maladies et les moyens de s’en protéger. Depuis quelques années, elle mène une politique de désinformation sur le vapotage. Elle publie sur sa plateforme une foire aux questions (FAQ) dans le but de mieux éclairer les utilisateurs des produits de vapotage. Découvrez plus d’informations à ce sujet.
Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : Présentation et rôle
L’OMS est une agence spécialisée des Nations Unies fondée en avril 1948. L’un de ses principaux objectifs est d’entretenir et d’améliorer la santé de la population mondiale. À ce jour, l’institution compte en son sein 194 États membres. Elle coopère avec des partenaires et des organisations pour relever les défis sanitaires d’envergure mondiale. L’Organisation Mondiale de la Santé joue un rôle important dans la lutte contre les épidémies et dans la promotion de la santé publique.
Le cancer du poumon fait partie des principales causes de mortalité dans le monde. La plupart des personnes qui contractent et souffrent de cette maladie fument le tabac, ce dernier étant connu pour être un produit très dangereux. En 2020, le nombre de fumeurs sur la planète était de 1,3 milliard. Le composé qui crée la dépendance chez le fumeur et qui rend le sevrage très difficile est la nicotine.
Depuis plus d’une décennie déjà, plusieurs experts ont découvert un moyen simple d’aider les fumeurs dans leur lutte contre le tabac. Ils leur conseillent notamment de consommer des produits de vapotage. Plutôt que d’encourager les fumeurs dans ce sens, l’Organisation Mondiale de la Santé mène une politique de désinformation sur le vapotage. Pour preuve, l’organisme a publié dernièrement sur sa plateforme une série de questions et réponses sur le sujet et qui date du 25 mai 2023.
La Foire Aux Questions (FAQ) de la désinformation sur le vapotage
Selon des études scientifiques, utiliser la cigarette électronique serait dangereux pour la santé des fumeurs. Cela exposerait le consommateur à des insuffisances cardiaques et des maladies pulmonaires. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), cette déclaration est totalement fausse et infondée. En effet, plusieurs études supplémentaires réalisées ont prouvé au fil du temps que les e-cigarettes étaient moins nocives que le tabac.
Par ailleurs, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) insiste sur les facteurs qui peuvent aggraver la vape. Elle déconseille de consommer certains ingrédients que l’on retrouve dans les e-liquides. Aussi, l’organisme a prouvé que la manière dont les produits de vapotage sont utilisés influe directement sur leur santé.
Les questions retrouvées dans la FAQ
Dans la foire aux questions (FAQ) publiée sur le site de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), vous trouverez des réponses aux interrogations ci-après :
- Les cigarettes électroniques sont-elles dangereuses et provoquent-elles des lésions pulmonaires ?
- Quel rôle jouent les cigarettes électroniques dans la lutte contre le tabac ?
- Quelles sont les options politiques pour réglementer les cigarettes électroniques ?
- Les émissions secondaires des cigarettes électroniques présentent-elles des dangers ?
- Les cigarettes électroniques sont-elles addictives ?
- Les cigarettes électroniques sont-elles plus ou moins dangereuses que les cigarettes de tabac conventionnelles ?
À la question de savoir si les cigarettes électroniques sont addictives, l’OMS, répond qu’un individu n’ayant pas l’habitude de fumer et qui utilise des cigarettes électroniques peut devenir dépendant à la nicotine. Il peut lui être difficile d’arrêter l’usage de ces produits ou même développer une addiction aux produits du tabac conventionnels.
L’OMS montre aussi que les émissions de seconde main des cigarettes électroniques sont dangereuses et présentent des risques pour les utilisateurs et les non-utilisateurs. Enfin, l’institution apporte également des éclaircissements sur ce qu’elle fait à propos des cigarettes électroniques. En plus de cela, elle fournit des liens accessibles à tous afin de faciliter l’accès à des informations supplémentaires sur le sujet.